Ce qu’il y a de bien, avec toi Nash, c’est qu’on est vite fixé si on te suporte ou si on te déteste. Pourtant t’es pas bien méchant (tu peux l’être parfois, mais faut te chercher quoi). Nan, c’est autre chose. Ce truc qui fait que, bah ouais hein, t’es toi.
T’es d’une franchise presque déloyale. Tu ne caches jamais ce que tu penses, même si c’est brut de décoffrage, d’une part, et que c’est souvent à côté de la plaque. T’es un peu con, faut le dire, au moins quand tu prends pas le temps de réfléchir. Tu dis ce qui te passe par la tête. Les questions, les blagues, les remarques. Et du coup, oui, on te prend souvent pour un type pas sérieux, pour quelqu’un qui se fiche de son job. Alors que toi, c’est ta manière d’être avec les gens, c’est tout.
Une choses qu’on peut complètement noter, c’est ton humeur. T’es pas sombre. T’es pas le mec le plus expansif du monde, mais tu es plutôt ce genre de personne stable, qui parviennent à apaiser les autres, à les ramener dans un contrôle d’eux-mêmes. Tu as parfois l’air de ne pas être touché par des événements choquants, comme la mort d’un proche, mais c’est juste ta manière de faire devant tout le monde.
Protecteur et loyal, t’es ce genre de mec qui a la force pour prendre soin des autres, et tu ne faillis pas à ce devoir. T’es famille, très proche de ceux que tu aimes, et pour eux, clairement, tu serais prêt à sacrifier bien des choses. Rien que ta soeur, hein. T’as beau passé ta vie à la chercher, à te foutre d’elle ou à te rebeller face à ses ordres, si quelqu’un lève ne serait-ce que le petit doigt contre elle, tu mords… et fort en plus.
Si y’a une chose sur laquelle on s’accorde tous, c’est ton courage. T’es pas une chochotte, toi. Puis même quand tu as peur, tu vas de l’avant, parce que tu as une volonté en béton armé. D’ailleurs, c’est assez souvent que ton courage frise la témérité, voire la stupidité, mais bon… T’es comme ça, tu ne fais jamais dans la demi-mesure. On te prend comme tu es en entier, ou on ne t’accepte pas, c’est tout.

La vérité, c’est que sous la surface du type qui cause parfois trop ou qui observe en jugeant, il y a une véritable boule de nerfs. T’es sensible. Genre vraiment hein, mais tu fais en sorte de le ravaler pour ne pas laisser de prise sur toi. Quand t’aimes, tu le fais avec le coeur et les tripes, la preuve en est de ta soeur. T’es tout le temps en train de la provoquer, oui, mais aussi de veiller dessus. Celui qui touche à elle, risque de se faire dézinguer par derrière par toi. Et parce que tu sais que cette sensibilité pourrait être utilisées contre toi, tu ne dis rien. Tu prends, t’avales, tu fais du sport pour te calmer jusqu’au moment d’implosion. Là, souvent, c’est moche. Parce que t’es vraiment un nerveux, et que te faire sortir de tes gonds, c’est avoir affaire à un Nash qui se contrôle plus. Ca fait mal. Et toi tu fais que des conneries dans ces moments là.
Une certaine partie de toi oscille énormément entre une certaine assurance quand il s’agit de la gente féminine et cette peur latente d’être seule. Fut une époque, tu draguais pour t’occuper, pour prendre du plaisir, pour t’affirmer comme un mâle. Depuis que la trentaine est passé, tu vois l’avenir d’un oeil éffrayé et tu vas vers les femmes pour… disons trouver la bonne ? En tout cas tu cherches quelques choses qui te rend bien plus difficile dans tes goûts. Tu en cherches une en particulier, hein, disons-le.

Anecdotes :
-T’es allergique à certaines herbes aromatiques. Ca te file des plaques affreuses… Et il t’a fallut des années pour comprendre d’où ça venait.
-Tu mens HYPER mal, à un tel point que c’en est ridicule.
-Tu adores la chaleur, ça te permet de te foutre à moitié à poil (comme ça, tu peux montrer tes muscles, wesh)
-Quand t’as pas bu ton café, le matin, tu grognes pour répondre. Ca fait très grizzli.
-T’as peur de rien, t’es curieux et tu assumes. Sauf des papillons. Va savoir pourquoi, c’est foutu insecte, ça te rend ouf.
-T’as beau draguer tout ce qui bouge et avoir conquis quelques femmes, t’as jamais eu de relations sérieuses.
-Tu DÉTESTES les gens qui jouent avec la nourriture. Tu pourrais les étouffer en leur faisant manger de force leur pitance.
-Trois repas par jour… un minimum pour pas que tu sois grognon.
-Tu ne comptes plus le nombre de black out après des concours d’alcool qui ont mal tourné.